Le salon C!Print fait son retour : interview de l’équipe commerciale

Les 10, 11 et 12 mai derniers, les équipes Exaprint étaient au Salon CPrint à Lyon. Pendant 3 jours, nous avons eu le plaisir de rencontrer nos client.e.s et prospects, d’échanger sur leurs projets d’impressions et de mieux cerner leurs attentes. Rencontre avec une partie de l’équipe !

Privés de rencontres pendant plus de deux ans, ces moments furent précieux ! Nathalie, Léa et Hakima, nous ont livrées leurs attentes avant CPrint, et leurs impressions quelques jours après la tenue du salon.

Faites la connaissance de Nathalie, Léa et Hakima

Avant CPrint : des retrouvailles très attendues !

Comment appréhendez-vous cette nouvelle édition ?

Nathalie : Cela fait maintenant deux ans que nous n’avons pas communiqué directement avec nos clients. Il me semble extrêmement important de voir comment le marché a évolué. C’est aussi une façon de nous assurer que nous sommes en phase avec les attentes actuelles.

Léa : Ma première attente est de retrouver nos clients ! Ces trois jours sont l’occasion pour nos clients et prospects d’être en contact direct avec les membres de l’équipe, de découvrir notre stand et nos nouveautés.

C’est important pour nous qu’Exaprint soit représenté dans un évènement avec une telle visibilité pour les professionnels de la communication et des arts graphiques. Notre objectif est que les clients repartent du stand en se disant “Vous êtes toujours les meilleurs.”, “Ça fait du bien de vous revoir.”

Hakima : Ma plus grande appréhension est de satisfaire les clients en continu pendant ces 3 jours intenses. Un salon tel que Cprint demande toujours beaucoup d’énergie et d’implication.

Est-ce que vous ressentez que votre métier évolue ?

Nathalie : Le métier évolue beaucoup depuis 10 ans, notamment avec le numérique. Ce que les clients découvrent c’est que le digital peut passer par le print – par exemple avec le QR code. On le voit désormais sur les affiches et parfois même sur des stickers. Ils sont un formidable outil pour compléter une campagne de communication.

Le digital peut passer par le print. On le voit désormais sur les affiches et parfois même sur des stickers. Ils sont un formidable outil pour compléter une campagne de communication !

Léa : Le métier de commercial n’est jamais routinier ! Aussi, on observe que les exigences sont plus importantes. Les augmentations tarifaires, les retards de livraison liées au transport, la pénurie de matière première… Nous avons un devoir de pédagogie auprès de certains clients. Mais ce n’est pas la majorité ! Le service apporté aux clients est au cœur du processus de vente et de fidélisation. Nous devons faire preuve d’une présence sans faille et de beaucoup de disponibilité.

Hakima : Il n’y a pas vraiment eu de coupure. Le fait d’avoir nos clients au téléphone nous permet de conserver un lien et connaitre leurs attentes. De plus, nous avons recommencé à proposer des déplacements depuis la fin des restrictions sanitaires. Nous sommes plus disponibles, nous avons la possibilité d’apporter les échantillons adaptés, de prendre le temps de discuter des projets à venir et des habitudes d’achat. Avec ces rencontres, on fait aussi évoluer le web-to-print. La relation physique permet de construire une relation de confiance plus rapidement que par téléphone ou par mail.

Nous sommes plus disponibles, nous avons la possibilité d’apporter les échantillons adaptés, de prendre le temps de discuter. Exaprint fait aussi évoluer le web-to-print et permet de construire une relation de confiance plus rapidement.

C’est d’autant plus important à la sortie de 2 ans de crise sanitaire. On a envie de dire aux clients : “On est toujours là, vous pouvez continuer à compter sur nous.” Et ce malgré une méfiance qui existe : face à l’augmentation des prix, au manque de main d’œuvre en atelier.

Est-ce que vous observez une demande pour les produits Made in France et éco-responsables ?

Nathalie : Je trouve que le rapport au papier est différent. Les clients vont chercher d’autres outils de communication et sont demandeurs de multisupports. Les demandes pour des supports “classiques” (flyers, dépliants, cartes…) sont plus mesurées, les demandes sont grandissantes pour les vinyles de vitrines ou encore les emballages. La communication se veut plus globale et ne passe pas forcément que par le papier. 

Léa : Pour ce qui est des produits écologiques, c’est plus que demandé ! J’espère sincèrement que cela va nous permettre de montrer davantage nos engagements dans la réduction de l’empreinte carbone liée à notre activité. 

Exaprint investit dans des moyens humains et financiers et joue pleinement son rôle d’imprimeur engagé. Cette façon de faire et de penser a toujours fait partie de notre ADN et nous n’avons pas attendu pour faire changer les choses !

Et bien que la mise en place de nos actions ne soit pas toujours facile, nous contribuons à la construction d’une société plus responsable. Nous considérons que consommer responsable est une véritable nécessité pour la planète. Évidemment, nous avons encore beaucoup d’améliorations en cours de réalisation et nous sommes fiers de montrer que des alternatives existent.

Hakima : En déplacement à Toulouse il y a quelques jours, j‘ai justement remarqué que les clients ont tendance à privilégier des partenaires professionnels locaux. 

L’aspect culturel est essentiel à considérer, surtout dans certaines régions françaises où le circuit court est privilégié. C’est une façon de participer à l’économie circulaire et locale et ainsi d’être éco-responsable. Toutefois, ces demandes concernent surtout les PME.

Post-Cprint : des échanges qualitatifs et une fierté partagée !

Le salon Cprint s’est tenu la semaine dernière et nos commerciaux reçoivent déjà des demandes de devis, des questions sur nos produits écologiques et des commandes de nouveaux clients…

Quelles sont vos premières impressions ?

Nathalie : J’ai trouvé que cette édition était très qualitative, les clients étaient ravis de nous retrouver et de nous parler de leurs beaux projets à venir. J’ai observé une grande soif de nouveauté ! L’activité redémarre après deux années plus calmes et la machine se remet en route.

Il y a beaucoup de nouvelles demandes, par exemple pour des produits alternatifs au print, des solutions qui permettent une plus grande visibilité. Le doypack – ou sachet flexible – a beaucoup plu ! Ce produit répond à de nouveaux besoins et permet à nos clients revendeurs de capter une nouvelle clientèle.

Hakima : La fréquentation de cette édition a été un peu moins élevée que les années précédentes. Cela m’a permis de prendre le temps avec chaque client.

Cette année, l’espace dédié aux innovations machines a particulièrement attiré, pourquoi selon vous ?

Nathalie : Cela s’explique par l’envie de rencontrer les constructeurs, de relancer les usines et développer sa productivité. Cela peut aussi être une conséquence d’un engouement pour l’ultra-personnalisation.

Hakima : Après deux ans sans se voir, les professionnels avaient envie de découvrir les nouveautés ! Il y a eu aussi beaucoup de monde du côté des constructeurs machines, car les clients veulent rencontrer les fournisseurs et s’équiper pour la rentrée 2022.

Cette année, ça a été aussi un travail important d’information : montrer toute l’étendue de nos catalogues produits.

“Chez Exaprint, on est capables de tout faire !”